Aux deux palmeraies à l'aurore
Ou deux balcons dont la lune
Timide, y prend son écart
Tes yeux quand ils souriaient
Les molles vignes feuillèrent,
Comme si les reflets lunaires,
Dansaient dans une rivière;
Comme une rivière qui frémit,
Sous la rame douce, à l'aube.
Comme si lointains les globes
Régissaient dans ses regards
Émergés dans un brouillard,
Qui reflétait la tristesse,
Comme la mer sous une nuit
Qui tend les bras en caresses
Donnant les frissons d'automne,
Et la chaleur douce d'hiver
La mort, l'entité, le noir,
Et les éclats de lumières.
Et les fortes envies de larmes
S’éveillent dans toute mon âme,
Qui embrassait les astres,
Comme l'extase d'un enfant
Ayant si peur de la lune !
On dirait les arcs des nues
Absorbaient tous les nuages
dissolvants, goutte à goutte,
Dans la bouche des orages
Et les enfants bégayaient
Doucement entre les vignes.
Et le chant des flots réveille,
Sur les cachettes de feuilles
À dissiper ses pleurs
Lorsqu’il s’affolait de l’appeler
Il faut qu’elle soit de retour
Malgré toutes les rumeurs
Dont les copains soufflaient
Qu’elle est là-bas laissée
Elle s’étouffait de cendre
Et se suffoquait de pluie
Et de quelle manière les canaux Sanglotent quant elle pleuvait ?
Sais-tu combien peut-elle
C’est comme le sang qui coule
C’est pleinement les morts
Et tes yeux m’emportaient
A travers les vagues du golf
Où les éclaires caressent
Et de fabuleuses clovisses
On les aurait vus peut-être
J’’hurlais criant le golf
« Oh, Golf ! Tout grand donneur
Mais rien que l’écho revint
Comme s’il gémit de refrain
« Oh Golf ! Golf !donneur
De clovisses et de mort »
Comme si j’entends l’Iraq
Réserver tous les tonnerres
Se provisionnant d’orages
Aux plaines et aux montagnes
Jusqu'à se qu’ils se dévoilent
Aux mains des braves rebelles…
Et l à que la tempête purifie